15 mai 2016

JOURNEE BONHEUR

Il y a la "JOURNÉE POUBELLE" : dès qu'on pose le pied par terre hors du lit, TOUT va de travers. 
Et s'est parti pour la journée !
Heureusement, il y a les petits bonheurs 
(il suffit de les dénicher - non, de savoir les reconnaitre - dans le grand bazar qui nous entoure)
mais aussi la JOURNÉE BONHEUR

J'en ai partagé une dernièrement avec Marylène :
2 expositions au programme de notre journée parisienne

Petit bémol : pourquoi un titre en anglais ? (voir mon aversion pour les anglicismes ici)

Il me faudra un peu de temps pour trier et partager toutes les photos. 
Car, à mon grand étonnement, il était possible d'en prendre. 
Je ne me suis pas gênée !
A bientôt pour une présentation plus détaillée

Mais voici un petit avant-goût

Le tailleur BAR  de Christian Dior
"Le 12 février 1947 a lieu le défilé inaugural de la maison de couture que Christian Dior vient de fonder à Paris, 30 avenue de Montaigne. La collection est bâtie sur les lignes "8" et "Corolle", mais tout le monde la dénomme "New Look" [  ]. Le tailleur Bar est emblématique de cette collection dont le style s'oppose à la mode sous l'occupation . "Nous sortions d'une époque de guerre, d'uniformes, de femmes-soldats aux carrures de boxeurs. Je dessinais des femmes-fleurs, épaules douces, bustes épanouis, tailles fines comme des lianes et jupes larges comme corolles" témoigne le grand couturier [  ]
Ici, les épaulettes sont supprimées, la poitrine est arrondie par un fort entoilage, la taille est d'autant plus cintrée que que les basques sont entièrement rembourrées sur les hanches, la jupe s'évase en plissé jusqu'à 30 cm du sol. Ce tailleur, composé de  3,75 m de shantung, 3 m de doublure, 1,50 m de toile tailleur, 1,50 de toile de coton, 5 boutons et surtout 5,50 m de lainage en 1,40 m de largeur, est la négation de tout principe d'économie. Le succès du New Look relance toute l'industrie française du luxe et restaure Paris comme capitale de la mode."
extrait du catalogue de l'exposition "FASCHION FORWARD TROIS SIÈCLES DE MODE" - p. 155

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